Loin vers l’infini s’étendent
De grands prés marécageux
Et là-bas nul oiseau ne chante
Sur les arbres secs et creux
Refrain :
Ô terre de détresse
Où nous devons sans cesse
Piocher, piocher.
Dans ce camp morne et sauvage
Entouré de murs de fer
Il nous semble vivre en cage
Au milieu d’un grand désert.
(Refrain)
Bruit des pas et bruit des armes
Sentinelles jours et nuits
Et du sang, et des cris, des larmes
La mort pour celui qui fuit.
(Refrain)
Mais un jour dans notre vie
Le printemps refleurira.
Liberté, liberté chérie
Je dirai : «Tu es à moi.»
Dernier refrain :
Ô Terre enfin libre
Où nous pourrons revivre,
Aimer, aimer.
C’est

Liens :
L’histoire du “Chant des Marais” :
http://ufacbagnolet.over-blog.com/article-20201896.html
Le Chant des déportés ou Chant des marais :
http://www.wikiwand.com/fr/Le_Chant_des_déportés
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