Heute werden in Berlin die Feierlichkeiten zum 50. Jahrestag des Elysée Vertrages und seiner Errungenschaften begangen.
Aujourd’hui, click nous sommes ensemble à Berlin pour célébrer les 50 ans du Traité de l’Elysée et ses acquis.
Heute werden in Berlin die Feierlichkeiten zum 50. Jahrestag des Elysée Vertrages und seiner Errungenschaften begangen.
Aujourd’hui, click nous sommes ensemble à Berlin pour célébrer les 50 ans du Traité de l’Elysée et ses acquis.
22. Januar 1963 – 22. Januar 2013: Heute feiern wir den 50. Jahrestag des Elysée-Vertrags.
22 janvier 1963 – 22 janvier 2013 : Aujourd’hui célébrons le Cinquantenaire du Traité de l’Elysée.
Dieser 22. Januar 1963 wurde die gemeinsame Erklärung der Präsidenten der Französisch Republik und der Bundeskanzler der Bundesrepublik Deutschland statt. Die Zusammenarbeit zwischen den beiden Ländern wurde geplant.
Ce 22 janvier 1963 eut lieu la déclaration commune du Président de la République française et du Chancelier de la République Fédérale d’Allemagne. La coopération entre les deux pays prenait son envol.
Sur le site de la Fondation Entente Franco-Allemande figurent ces mots :
Eine emblematische Vertreter der deutsch-französischen Beziehungen: Barbara. In seiner Kindheit hatte Barbara sich zu verstecken in Vernichtungslager zu entkommen. Sie wurde im Juli 1964 in Deutschland eingeladen, in ein Theater der Universitätsstadt Göttingen. Barbara ging, wenig begeistert. Und bevor der Empfang gebucht wurde, der Künstler seinen Aufenthalt verlängert und schrieb ein Genuss dieses schöne Lied. Im Jahr 1967 schrieb sie in der deutschen Version von diesem Song.
Une représentante emblématique de ce lien franco-allemand : Barbara. Celle qui dut se cacher dans son enfance afin d’échapper à l’extermination, fut invitée en juillet 1964 en Allemagne, dans un théâtre de la ville universitaire de Göttingen. Barbara, peu enchantée, s’y rendit. Et devant l’accueil qui fut réservé, l’artiste prolongea son séjour et écrivit sur place d’une traite cette magnifique chanson. En 1967, elle en écrivit la version allemande.
http://youtu.be/jkwaT2mLrtA
Compléments :
Le Portail de la coopération franco-allemande
La Fondation Entente Franco-Allemande
Le déplacement du Président de la République pour le cinquantième anniversaire du Traité de l’Elysée
Les paroles de la chanson de Barbara Göttingen (version bilingue)
Sa robe était de couleur alezan brûlé. Il naquit le 7 avril 1980 au haras de Saint-Georges, dans l’Eure. Il restera tout simplement le plus grand, le meilleur trotteur de l’Histoire. J’ai nommé Ourasi. A partir de 1985 commença réellement sa brillante carrière. En 1986, il connut vingt-deux victoires ininterrompues. A quatre reprises, ce champion remporta le fameux Prix d’Amérique. A la quatrième victoire de ce Prix, Ourasi était âgé de près de neuf ans. C’était en 1990.
Le champion avait commencé par la suite une carrière d’étalon au haras d’Aunou-le-Faucon dans l’Orne. Il était retraité depuis 1990 au Haras de Gruchy dans le Calvados.
Ourasi est parti au paradis éternel des trotteurs aujourd’hui, le 12 janvier 2012.
On l’appelait « le Roi Fainéant ».
Pierre Lamy, le directeur du haras qui accueillait le cheval depuis fin 1990 a dit : « C’est un sale jour. Il est mort à 11H00 et a été enterré aussitôt. Il ne mangeait plus depuis quatre jours, ne se couchait plus car il craignait de ne pas pouvoir se relever. Cela faisait plusieurs jours qu’on reculait, qu’on reculait, la décision n’a pas été facile à prendre mais il souffrait et c’était la fin. On a été obligés de l’aider. C’est très, très dur ».Salut l’Artiste !
Quels souvenirs !
C’était il y a près de trente-quatre ans, en 1979 – le 31 mars 1979 exactement – dans la salle du Binyanei Ha’uma de Jérusalem, en Israël, qu’on découvrit cette chanson devenue célèbre depuis. La chanteuse Gali Atari était accompagnée par groupe « Chalav Udvash ». Les israéliens remportèrent une seconde fois le concours avec la chanson « Halleluyah » !
[youtube]https://www.youtube.com/watch?v=5cb0h2uZCpM[/youtube] (suite…)
C’était à la « Macworld San Francisco 2007 Keynote », le 10 janvier 2007.
"An iPod, a Phone and an internet communicator... This is one device. And we have calling it : iPhone ! Today, Apple is going to reinvent the phone".
Quoi qu’on puisse dire ou penser, nul ne peut nier qu’il y a un « avant » et un « après » iPhone. Apple a bien réinventé le téléphone. Depuis, Steve Jobs, le visionnaire, celui qui avec Steve Wozniak avait créé un jour dans un garage un Apple 1, nous a quittés. Pour mémoire, voici la Keynote de janvier 2007 à San Francisco. Un moment d’émotion certain.
Six ans déjà…
Souvenez-vous de Malala…
Militante des droits de l’Homme au Pakistan, elle est connue pour son combat pour le droit des femmes à l’éducation. Agée de 14 ans, elle survécut miraculeusement, mardi 9 octobre, à une tentative d’assassinat perpétrée par les talibans. « L’un d’eux, qui avait une petite barbe, est monté et à demandé aux enfants laquelle d’entre elles était Malala. Il a tiré trois fois : la première balle a atteint Malala à la tête, la seconde a frappé l’épaule d’une de ses camarades d’école et la troisième a légèrement blessé une autre fille à la jambe ».
Hospitalisée depuis mi-octobre dans le Queen Elizabeth de Birmingham (centre de l’Angleterre), elle était dans le coma.
Elle est sortie de l’hôpital début décembre. Heureux hasard du calendrier, début décembre également nous apprenions que la jeune Malala allait être honorée par le Prix Simone de Beauvoir dont il est dit ceci :
« Attribué à une personnalité qui incarne les valeurs défendues par Simone de Beauvoir, le prix éponyme dans son édition 2013 est attribué à Malala Yousafzai. Présidé par Josyane Savigneau, avec pour Présidentes d’honneur Julia Kristeva et Sylvie Le Bon de Beauvoir, le jury est composé de personnalités issues du monde des arts et des lettres ».
Aujourd’hui, mercredi 9 décembre 2012, à la Maison de l’Amérique Latine, à Paris, a eu lieu cette cérémonie, véritable moment d’émotion, en présence de Madame la Ministre Najat Vallaud-Belkacem (ministre des Droits des femmes et porte-parole du gouvernement) qui remit le prix au père de Malala.
Source photo : @najatvb
Les fêtes de Noël en famille étant maintenant derrière moi, je quittais non sans quelques regrets la terre alsacienne de ma jeunesse, « histoire de reprendre un peu le cours de ma vie »…
Je démarrais ce jour-là, dans la matinée. La radio diffusait l’émission économique très intéressante d’Alexandra BENSAID. Dehors, il faisait 5°C…
Pour un plateau de fêtes, c’était un plateau de fêtes : les chroniqueurs se sont rassemblés pour évoquer dans la bonne humeur les pépites économiques de 2012. Livres et films, tout a été rassemblé pour un florilège d’économie à lire et regarder.
Ce fut une spéciale Jean-Pierre Mocky à l’occasion de la sortie du coffret « Mocky sème la zizanie » (Pathé vidéo). Les chroniqueurs ont pu dialoguer avec le grand Jean-Pierre Mocky. Moment d’anthologie.
J’avance. Contrairement à l’aller, la semaine dernière : pluie, pluie, pluie. Quasiment tout au long du trajet. Epuisant. Angoissant. Contrairement à cet aller, donc, ce coup-ci : soleil, soleil, soleil. De A à Z.
Petit arrêt.
Moment de grâce : Jean-Claude AMEISEN. Je suis tout ouïe…
Un cadeau de nouvel an, par Yohannes Keppler, mathématicien royal. Un cadeau de presque rien, un flocon de neige… Passionnant (comme toujours) !
L’invitée de Philippe Meyer, mammifère omnivore : Annie Cordy. Beau moment.
Retour sur le 20 juin 1944 : Jean Zay assassiné par la Milice (1ère diffusion : 22 mai 2004). Quelle histoire. Excellent retour sur ce haut personnage et cette période trouble si clairement exposée.
Un peu d’air avec Denis Cheissoux qui retrouve le comédien Jean Rochefort dans la nature au milieu de ses chevaux, près de Rambouillet ; avec Jean-Marie Pelt. Excellent moment.
Ah ! Clara Dupont-Monod la pétillante comtesse et ses chroniqueurs Alexis Lacroix et Gilles Heuré qui ont reçu ce samedi Nadja pour « Les filles de Montparnasse » (Olivius).
Arrêt ravitaillement. Le Grand Bain, Sonia Devillers. 2012 : Qui les médias ont-ils sacré ou massacré ?
Paysages de Provence…
Encore une très belle émission (décidément bravo France Inter) :
D’Emmanue KHERAD Autour des Prix Littéraires. Avec Jérome Ferrari, Prix Goncourt 2012, Geneviève Damas, Prix des 5 Continents de la Francophonie 2012, ainsi que Scholastique Mukasonga et Bernard Plossu.
Ah ? Et bien je suis arrivé !
Merci France Inter pour ces précieuses ondes voyageuses !…
A l’occasion du trentième anniversaire de la mort d’Aragon (né le 3 octobre 1897 à Neuilly-sur-Seine et mort le 24 décembre 1982 à Paris), voici sans doute l’un des plus beaux textes qui soit ; l’un de ceux que l’on rêverait d’adresser à celle que l’on aime…
Les Yeux d’Elsa
Tes yeux sont si profonds qu’en me penchant pour boire
J’ai vu tous les soleils y venir se mirer
S’y jeter à mourir tous les désespérés
Tes yeux sont si profonds que j’y perds la mémoire
À l’ombre des oiseaux c’est l’océan troublé
Puis le beau temps soudain se lève et tes yeux changent
L’été taille la nue au tablier des anges
Le ciel n’est jamais bleu comme il l’est sur les blés
Les vents chassent en vain les chagrins de l’azur
Tes yeux plus clairs que lui lorsqu’une larme y luit
Tes yeux rendent jaloux le ciel d’après la pluie
Le verre n’est jamais si bleu qu’à sa brisure
Mère des Sept douleurs ô lumière mouillée
Sept glaives ont percé le prisme des couleurs
Le jour est plus poignant qui point entre les pleurs
L’iris troué de noir plus bleu d’être endeuillé
Tes yeux dans le malheur ouvrent la double brèche
Par où se reproduit le miracle des Rois
Lorsque le coeur battant ils virent tous les trois
Le manteau de Marie accroché dans la crèche
Une bouche suffit au mois de Mai des mots
Pour toutes les chansons et pour tous les hélas
Trop peu d’un firmament pour des millions d’astres
Il leur fallait tes yeux et leurs secrets gémeaux
L’enfant accaparé par les belles images
Écarquille les siens moins démesurément
Quand tu fais les grands yeux je ne sais si tu mens
On dirait que l’averse ouvre des fleurs sauvages
Cachent-ils des éclairs dans cette lavande où
Des insectes défont leurs amours violentes
Je suis pris au filet des étoiles filantes
Comme un marin qui meurt en mer en plein mois d’août
J’ai retiré ce radium de la pechblende
Et j’ai brûlé mes doigts à ce feu défendu
Ô paradis cent fois retrouvé reperdu
Tes yeux sont mon Pérou ma Golconde mes Indes
Il advint qu’un beau soir l’univers se brisa
Sur des récifs que les naufrageurs enflammèrent
Moi je voyais briller au-dessus de la mer
Les yeux d’Elsa les yeux d’Elsa les yeux d’Elsa
Louis Aragon, Les Yeux d’Elsa, 1942
Rien à dire. Rien. Si ce n’est que ce qui suit est magnifique.
Simplement vertigineux…
C’est l’année prochaine qu’il sera intéressant de célébrer ce moment, pour avoir un compte rond. Mais pour une fois que j’y pense à temps, je ne louperai pas l’occasion.
Dans mes jeunes années, juste après le bac, je m’étais inscrit au concours d’entrée à l’Ecole Normale. Je voulais devenir instituteur. J’affrontais deux écrits, en même temps qu’un nombre incroyable d’autres candidats (deux amphis pleins). Le premier travail était à dominante littéraire, le second à dominante scientifique. Le résultat fut encourageant : j’étais admis pour la suite !
Cette deuxième étape était composée de plusieurs épreuves (là, nous ne remplissions déjà plus que deux grandes salles). Travaux manuels (réalisation d’un personnage du genre « marionnette » avec le matériel qu’on nous avait demandé d’amener) ; sport : course à pieds (sprint et fond), natation, sports collectifs ; puis chant, musique et expression corporelle. Nouvelle petite attente, quelques jours, puis j’appris mon admissibilité !
(suite…)Le 11 octobre 1919 naissait à Pittsburgh Art Blakey qui nous a quitté en 1990.
C’est donc aujourd’hui le jour anniversaire de sa naissance. Il aurait eu 93 ans. Avec son groupe créé dans les années 1950, Art Blakey & The Jazz Messengers sont toujours présents dans l’univers du Jazz dans le monde.
Ci-après, une vidéo d’Art Blakey & The Jazz Messengers (Blues March) enregistrée en 1989 – un an avant la mort du maître – dans le cadre du Mt. Fuji Jazz Festival ’89 with Blue Note :
La formation : (suite…)
Dans « le Nouvel Observateur » du 27 septembre, des extraits exclusifs du livre de Boris Cyrulnik, « Sauve-toi, la vie t’appelle ».
(…) De l’enfant abîmé à l’adulte réussi…
Depuis trente ans, à travers une vingtaine d’ouvrages, liant recherche fondamentale et expérience clinique, Boris Cyrulnik n’a cessé d’explorer cette notion complexe de « résilience », inventée par la psychologue américaine Emmy Werner, qu’il a été le premier en France à développer et à vulgariser. Résilience?? La capacité de l’être humain, s’il est bien entouré, à reprendre un développement « sain » après avoir été en état d’agonie psychique. Ou comment, à quelles conditions, un enfant abîmé peut-il devenir un adulte réussi?? Ce prodige-là, l’humanité en est capable. Ce n’est pas le moindre mérite de Boris Cyrulnik que de nous le rappeler ici. Et c’est en quoi son histoire, tragiquement exceptionnelle, touche à l’universel. (…)
Un dossier extraordinaire à lire dans le Nouvel Obs du 27 septembre :
Un livre à ne pas manquer…
http://www.amazon.fr/Sauve-toi-vie-tappelle-Boris-Cyrulnik/dp/2738128629
Etonnante vidéo…
Dans les années 1950.
Le président égyptien Gamal Abdel Nasser explique devant une assemblée importante l’entretien qu’il avait eu en 1953 avec les Frères musulmans. Parmi les demandes de ces derniers : le port du voile pour toutes les femmes égyptiennes. Rires de Nasser, rires dans l’assemblée. « Je lui ai répondu que c’était revenir à l’époque où la religion gouvernait et où on ne laissait les femmes sortir qu’à la tombée de la nuit », ajoute Nasser.
Ceci se passe il y a soixante ans ! N’est-ce pas ahurissant ?… Soixante ans ont passé et qu’observe-t-on de nos jours – que d’aucuns pourraient appeler les « temps modernes » ? De plus en plus de pressions sont exercées sur les femmes de ce pays (entre autres pays). Comment pourraient-elles donc imaginer qu’il y avait soixante ans – plus d’un demi-siècle – leur sort fut incomparablement plus enviable qu’aujourd’hui… De nos jours où l’on a pu voir pour la première fois une Egyptienne présenter le journal à la télévision, voilée intégralement… Aujourd’hui où le voile intégral est brandi par certain-e-s comme symbole de liberté ou d’équilibre… En soixante ans, une pesante nuit est tombée sur ces pratiques. Les mutations de la société égyptienne actuelle le montrent. Triste, pénible obscurantisme.
Pour toutes ces femmes égyptiennes, et tant d’autres dans le monde dans le même cas, espérons qu’une nouvelle aube puisse bientôt se dessiner à l’horizon de la Laïcité, de la Liberté, et du Respect. Aube de l’Espérance. Une aube que nul voile ne pourrait dissimuler. Première aube avant qu’un grand soleil surgisse, imparable, éblouissant de sa belle, de sa grande, de sa pure lumière, et aille déloger jusque dans les moindres petits recoins de l’Humanité comme dans le coeur des Hommes, les dernières traces d’ombre, d’obscurité, de ténèbres.