Le ministre de l’Immigration et de l’identité nationale a bien voulu répondre à la Ligue des droits de l’Homme que la présence d’enfants et de nourrissons dans les centres de rétention administrative s’expliquait par son souci de respecter le droit humanitaire en ne séparant les familles en aucune circonstance.
Au demeurant, la libération de la famille Santos témoigne à l’évidence du caractère intenable de la position du gouvernement.
La LDH tient à assurer les autres victimes de cette politique « décomplexée » de sa solidarité et de son attachement aux valeurs humaines sur lesquelles a été fondée la République.
Paris le 13 août 2009
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