Étiquette : Culture

  • Cinéma, cinéma,

    Cinéma, cinéma,

    Une fois n’est pas coutume, nous allons évoquer un film. Depuis quelques temps, faute de pouvoir nous rendre au cinéma Lumière, de La Ciotat, au centre-ville, fermé par la Mairie, sacrifié sur l’autel inique des profits financiers, du moins nous l’imaginons (ou gênait-il à ce point l’Eden ?), ce cinéma Lumière, que nous fréquentions déjà il y a tant d’années, accompagnés de nos enfants encore petits – c’est dire les innombrables souvenirs qui peuvent accompagner ce simple rappel appartenant désormais au passé – il nous apparut important, pour le moins, d’aller voir ailleurs.

    Depuis, notre quête, pour découvrir nos nouveaux films préférés, nous a menés à deux endroits différents : le Ciné-Calanques, à Cassis et le Cinéma Pagnol, à Aubagne.

    Nos dernières trouvailles ? « Back to Black » (biopic fondé sur l’histoire d’Amy Winhouse), « Monsieur Aznavour », à Cassis, « Témoins numéro 2 », « Conclave », à Aubagne. De beaux et bons moments passés devant ces écrans.

    Il y a très peu de temps, au Cinéma des Calanques de Cassis, nous allions découvrir ce film qui nous avait été moultement conseillé, alors que nous en avions découvert l’affiche, une semaine auparavant. En observant, avec attention, celle-ci, l’évocation de « Bienvenue chez les Ch’tis » nous arrivait en tête. Allez savoir pourquoi ? Sans doute ces deux personnages qui s’observaient.

    (suite…)
  • Ô Toulouse

    Ô Toulouse

    Depuis le temps que je rêvais de découvrir le Sud-Ouest et Toulouse en particulier.

    Cet été mon rêve s’exauça.

    Au mois d’août, nous prîmes la direction du Paîs, célébré par le poète.

    L’eau verte du canal du Midi
    Et la brique rouge des Minimes
    Ô mon paîs, ô Toulouse, ô Toulouse

    En route ! Départ avec la batterie à 100 %. Après une charge de 23 minutes (26 kWh / 8,58 €) au Superchargeur de Nîmes, au moment du déjeuner, nous arrivâmes dans la Ville rose sans encombre.

    Nous avions réservé une location en pleine ville. Cela nous permit d’arpenter cette dernière sereinement, sans avoir à utiliser la voiture.

    Une visite tout en images.

    (suite…)
  • Connaissez-vous DÉMOS ?

    Connaissez-vous DÉMOS ?

    Il y a quelques temps, je découvrais l’existence de cette démarche particulière dont il m’a paru que je devais la soutenir. Ce que je fis. Car quel magnifique projet que celui-ci.

    Qu’est-ce que DÉMOS ?

    Je reproduis ci-dessous cette description trouvée sur leur site :

    « Démos (Dispositif d’éducation musicale et orchestrale à vocation sociale) est un projet de démocratisation culturelle s’adressant à des enfants issus de quartiers relevant de la politique de la ville ou de zones rurales insuffisamment dotées en institutions culturelles.

    Depuis 2010, Démos s’attache à favoriser l’accès à la musique classique par la pratique instrumentale en orchestre. Le dispositif doit sa réussite notamment à un encadrement éducatif adapté, à la coopération entre acteurs de la culture et acteurs du champ social, au développement d’une pédagogie collective spécifique et à la formation continue des intervenants ».

    Pour aller plus loin, voici le lien vers la page : https://demos.philharmoniedeparis.fr/le-projet.aspx

    Le projet Démos est actuellement dans la phase des remises d’instruments, par exemple comme dans la ville de Mitry-Mory, consultable sur le site de Démos en cliquant sur ce lien : ici.

    Cette cérémonie est une étape forte durant la première année du dispositif Démos. Elle permet de valoriser l’engagement des jeunes et de leur famille au sein du projet, et de souligner leur responsabilité dans le soin apporté à l’instrument.

    Depuis novembre, ce moment inoubliable a été partagé par plus de 700 jeunes musiciens résidant dans la France entière. Ce sont les jeunes des orchestres Démos Paris, Hauts-de-Seine, Grand Paris, Grand Est et Angers qui ont ouvert le bal des remises d’instruments.

    https://demos.philharmoniedeparis.fr/Default/doc/SYRACUSE/44678/remise-d-instruments-a-mitry-mory

    Pour en savoir plus, voici le lien cers le site DEMOS : https://demos.philharmoniedeparis.fr/

    Et vous, que pensez-vous du dispositif DÉMOS ? Laissez-nous votre avis !

  • Enivrez-Vous

    Enivrez-Vous

    Il faut être toujours ivre, tout est là ; c’est l’unique question.

    Pour ne pas sentir l’horrible fardeau du temps qui brise vos épaules et vous penche vers la terre, il faut vous enivrer sans trêve.

    Mais de quoi ?

    De vin, de poésie, ou de vertu à votre guise, mais enivrez-vous!

    Et si quelquefois, sur les marches d’un palais, sur l’herbe verte d’un fossé, dans la solitude morne de votre chambre, vous vous réveillez, l’ivresse déjà diminuée ou disparue, demandez au vent, à la vague, à l’étoile, à l’oiseau, à l’horloge, à tout ce qui fuit, à tout ce qui gémit, à tout ce qui roule, à tout ce qui chante, à tout ce qui parle, demandez quelle heure il est ; et le vent, la vague, l’étoile, l’oiseau, l’horloge, vous répondront :

    « Il est l’heure de s’enivrer ! Pour n’être pas les esclaves martyrisés du Temps, enivrez-vous ; enivrez-vous sans cesse !

    De vin, de poésie ou de vertu, à votre guise. »

    Charles Baudelaire


    Enivrez-Vous est un poème de Charles Baudelaire, publié le 7 février 1864 dans Le Figaro n°937 puis repris dans le recueil posthume Le Spleen de Paris, également connu sous le titre Petits poèmes en prose.

    Sans oublier la magnifique interprétation due à Serge REGGIANI :

  • Connaissez-vous NoNo ?…

    Connaissez-vous NoNo ?…

    Oui ! NoNo, comme le Théâtre NoNo !

    Quelle découverte, le Théâtre NoNo !

    Quel moment incroyable vécu samedi dernier à l’occasion de la soirée de présentation de la saison 2016-2017 !

    12573166_417294191797940_5729056784373083083_n
    Photo : Théâtre NoNo

    En associant la scène et des projections sur grand écran, cet inventaire des futurs spectacles laisse présager une saison passionnante autant que colorée. Dans le décalage permanent, mais sans jamais sombrer dans la vulgarité, toujours dans le respect de l’autre, avec cette ambiance surréaliste, festive et joyeuse. Et cette générosité de tous les instants… (suite…)

  • Une voix, un être merveilleux…

    Natalie Dessay

    Copie-de-Natalie-Dessay-(c)-Simon-Fowler

    A-t-on encore besoin de présenter cette étoile ? Celle qui trône au firmament de mon panthéon personnel, qui fut capable de monter jusqu’au contre-la ! Soprano coloratura et exquise comédienne, Natalie Dessay me laisse sans voix.

    Voici un très beau reportage de la chaîne Mezzo qui nous laisse découvrir plusieurs facettes de ce diamant précieux et pur. S’y livre une artiste éclatante, une maman sensible, une amie pleine d’humour. Je vous laisse apprécier.

    Une voix, un être merveilleux…


    Liens :

    • http://www.natalie-dessay.com : le site officiel

    • Natalie Dessay sur Wikipepdia

    • A propos du documentaire « Traviata et nous » (http://www.lemonde.fr/culture)

    • http://www.mezzo.tv

     

     

  • Ah non ! TARATATA ne peut pas s’arrêter !

    Cette émission fait partie de notre culture, de notre vie, de notre patrimoine !

    taratata1

    Elle fait partie de l’histoire de la chaîne, cette chaîne publique qui a tant à gagner à ne pas supprimer Taratata ! Pour une fois que je me dis que ma redevance sert à quelque chose ! Pourquoi, à chaque fois qu’il s’agit de réduire les budgets, c’est toujours la culture qui en souffre ? Il y a des soucis d’audience ? Allons donc ! A l’heure où est diffusée l’émission est-ce étonnant ? Et pourquoi ne pas imaginer une fois par mois (pour commencer) un Taratata en « Prime-Time » ? Soyons fous !

    Unknown

    Quelqu’un peut me dire s’il existe sur le Service public une autre émission de ce genre qui diffuse des artistes en Live aussi bien que Taratata ? Ne cherchez pas : ce n’est que dans Taratata ! Un bel exemple signé Téléphone :

    Monsieur Rémy Pflimlin Président du Groupe France Télévisions, Madame Aurélie Filippetti, Ministre de la Culture, épargnez Taratata. Soutenez notre émission.

    Décidément. Il est simplement impossible que Taratata s’arrête. Vite ! Signez la Pétition !

    Et puissions-nous encore entendre, durant des générations, ce fabuleux générique à nul autre pareil :

  • 1871…

    1871, la Commune. Sublime chanson de l’éternel Jean FERRAT. Où l’on n’oublie ni Louise michel, ni Jean-Baptiste Clément, ni Eugène Pottier…

  • Quand les hommes vivront d’Amour

    Il y a des moments rares, dans une existence. Comme ce 13 août 1974 à Québec, quand Félix Leclerc, Gilles Vigneault et Robert Charlebois reprirent cette magnifique chanson pacifiste de Raymond Lévesque de 1956. Quelles images, quelle fraternité, et surtout, quelles paroles…

    Un magnifique cadeau au monde du poète Québecois…

    (suite…)

  • Victor Hugo disait…

    Ce qu’écrivait le grand Victor Hugo à l’occasion de la parution de son oeuvre magistrale « Les Misérables », en 1862…
     

  • Les Deux Chevaux de Gengis Khan

    Chers amis,

    Ce fut un très beau film ! Vraiment.

    « Les Deux Chevaux de Gengis Khan » nous plongent dans les vertigineux paysages de Mongolie, dans cette langue aux doux accents, dans cette écriture aux formes inconnues et surprenantes…

    Une oeuvre magnifique de la réalisatrice Byambasuren Davaa qui avait déjà réalisé « L’Histoire du Chameau qui Pleure » et « Le Chien Jaune de Mongolie ». (suite…)

  • Culture Interceltique

    La fête de la fraternitéC’est ce que nous pouvions nous dire après un tel moment que fut Le grand spectacle de la Fest Noz, donné dans le cadre du Festival Interceltique de Lorient, 41e du nom, début août 2011 et rediffusé sur France 3 (présentation Tania Young et Christophe Guyomard). (suite…)

  • Nounours, Nicolas et Pimprenelle sont tristes.

    Le « marchand de sable » a emmené le père de Nounours, Pimprenelle et Nicolas. C’est ainsi que Sandra Lacut annonçait pour l’AFP la disparition du créateur de Nounours, Pimprenelle et Nicolas.

    Né le 10 mars 1927 à Bruxelles, Claude Laydu est mort vendredi en région parisienne, à l’âge de 84 ans. (suite…)

  • Un petit coin de La Ciotat

    Chers amis,

    Notre belle ville de La Ciotat, depuis quelques années, a bien perdu de son cachet d’antan. Le bétonnage tous azimuts est devenu la règle. Plus un mètre carré de terre, bientôt, ne sera épargné sur l’autel du développement immobilier…

    Il est un coin en particulier, un petit coin de La Ciotat, qui pourrait bientôt changer de forme. Bienvenue dans un petit voyage que l’on peut encore appeler « fiction ». Pourvu que ça dure…

    Alors voilà. Il y a quelques temps – pas si lointains – il fut question de fermer une école. L’école Louis Marin pour être précis. Curieux pour un établissement dont les effectifs sont loin, très loin d’être déficitaires ! Déjà à l’époque on entendait certaines voix exprimer combien le rouleau-compresseur des intérêts financiers n’allait pas s’émouvoir d’une école de centre-ville qui a le malheur d’être orientée vers la mer… Ah ! Cette « vue mer » !… (Enfin, il faut tout de même pour voir la mer sortir dans la rue et tordre son cou vers la droite)…

    Mais s’il n’y avait que l’école… Un peu plus bas, dans la continuité de l’école, se trouve le Théâtre du Golfe à côté duquel se tenait une caserne de pompiers à présent désaffectée (le pompiers ayant depuis rejoint une caserne flambant-neuf). Il en est de même pour une caserne de gendarmerie nautique dont il était fortement question qu’elle ne soit supprimée (si ce n’est déjà fait) au nom de la « révision générale des politiques publiques ».

    Revenons un instant au Théâtre du Golfe. Lors du dernier Conseil municipal, la décision fut prise d’aménager une ancienne halle à bois, plus longue que large, en salle de concert et spectacles. On y verra sûrement les mêmes spectacles qui ont lieu dans le Théâtre du Golfe… Si cela s’avère vrai, pourquoi ne pas fermer ce dernier ? Et du coup, la Ville disposerait d’un sacré petit coin face à la mer qui en ferait pâlir plus d’un…

    Allez zou ! Avec l’aide de Google Maps et d’un peu d’imagination, voici une espèce de bande dessinée aux accents lugubres. Pour l’instant on peut préciser, en la paraphrasant, la célèbre formule : « Toute ressemblance avec des lieux existants ou ayant existé est purement fortuite« . Pour l’instant…

    (suite…)