Ou l’Alsace comme on ne l’avait jamais vue…

Enfin la trêve estivale est arrivée avec le mois d’août tant espéré.

Pour démarrer en douceur – été oblige – le premier jour nous avons visité Obernai, ville si belle, si vivante, si alsacienne !… 

La place centrale de la ville.
Cité toujours vivante, ouverte aux visiteurs.

Le jour suivants nous avons visité Mutzig, d’où est originaire une partie de ma famille, avant d’assister, le soir venu, à une dégustation organisée par Odile Schollaert, gérante de “L’Italie dans un verre” (https://vinsitaliens.jimdo.com/), un moment de qualité, tant sur le plan gustatif qu’humain. Molto Bene !

Un autre soir, nous avons également dégusté de succulentes tartes flambées au restaurant Le Marronnier (https://www.restaurantlemarronnier.fr/), à Stutzheim, dans un magifique cadre boisé.


Après le Bas-Rhin, entrons dans le Haut-Rhin. Le lendemain notre visite fut consacrée au magnifique village de Riquewihr. Son climat particulier a rendu possible la culture de la vigne.


Le jour d’après fut celui du recueillement : direction le massif du Linge. “La Bataille du Linge oppose du 20 juillet au 16 octobre 1915, l’Armée française à l’Armée allemande durant la Première Guerre mondiale. Elle a pour cadre le massif du Linge qui se situe sur le ban des communes de Hohrod, Soultzeren et Orbey dans le département du Haut-Rhin. Cette bataille s’inscrit dans une série de combats dans les Vosges déclenchés par l’Armée française afin d’obtenir des positions dominantes pour une attaque future dans la plaine d’Alsace. Ces combats et notamment la bataille du Linge sont particulièrement meurtriers pour des gains territoriaux minimes.” (Wikipedia)

Entre le 20 juillet 1915 et le 16 octobre 1915, on compta 8 867 pertes pour la France et 7 000 pertes Pour l’Empire allemand…


La journée marathon. Enfin, n’exagérons rien… :o) Cette journée, donc, nous avons visité : la Montagne des singes, la Volerie des aigles et le Château du Haut-Koenigsbourg. Tout de même !

Vol de l’aigle.

Le lendemain, direction l’Allemagne, pour rendre visite à des amis allemands, dans la région du Lac de Constance (Bodensee). Nous en avons profité pour nous rendre en Suisse, à deux pas, pour voir les Chutes du Rhin. Un spectacle des plus impressionnants…

Une journée de rêve ensuite, avec la visite de l’île de Mainau, appelée encore l’île aux Fleurs. Extraordinaire endroit…


Le jour d’après, de belles retrouvailles avec une collègue de mes jeunes années en Alsace – nous avons toujours gardé contact. Chaque été, un nouveau restaurant à découvrir. Cette année, on nous emmena à Grisheim-près-Molsheim dans un établissement hors du commun : L’Auberge de la Chèvrerie (https://www.chevrerie.com/). Si vous passez dans le secteur, n’hésitez surtout pas ! Le Chef Yann Eber nous fait voyager de si belle manière. Une soirée qui restera dans les mémoires !

Merci Chef Eber pour cette magnifique soirée !


Arrivant à la fin de notre séjour, nous sommes tout de même passés à la cave Stoeffler (http://www.vins-stoeffler.com/fr/), à Barr – une cave de grande qualité, qui nous fut recommandée par l’excellent traiteur du Mât de Cocagne (https://www.matdecocagne.fr/), Patrick FEIDT. Nous avons également passé plusieurs moments à Strasbourg, bien sûr. Pour visiter la Petite France, le centre-ville, les alentours et déguster une succulente “Choucroute aux trois poissons”, de la Maison Kammerzell (https://www.maison-kammerzell.com/). Voici ce qui est dit sur leur site, à propos de cette choucroute : “Créé en 1970 par Guy Pierre Baumann, ce plat emblématique est aujourd’hui devenu la spécialité de la Maison Kammerzell, et, est reconnu aux quatre coins du monde.” A deux pas de la Cathédrale de Strasbourg, ne manquez pas ce lieu de raffinement.

Une dernière visite au Mont Sainte-Odile et déjà le moment du retour avait sonné. Nul doute que nous n’oublierons pas de si tôt ce séjour bien rempli qui nous a rappelé combien l’Alsace est belle – comme le dit la chanson – combien elle est riche d’Histoire, de paysages, de culture, de cuisine, de vins, de générosité et j’en passe. Ce fut, comment disions-nous ?… Ah oui ! Molto molto Bene !

Hop là ! Ce n’est qu’un au revoir ! J’en suis sûr. Ah yo !…


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